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Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE]
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 Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE]

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Épéiste de la Brume

Otaitsu Köda
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Otaitsu Köda

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MessageSujet: Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE]   Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE] EmptySam 18 Avr - 18:56





“ Kowabunga dude ! ”


Caractère
Etrange. Oui, on peut dire que je suis étrange. Dans ma manière d'être, dans mes réactions. Vous allez comprendre. Par où commencer ? Oui, un portrait large.

Ma double ascendance, faisant de moi un bâtard, fait que je n'attend rien de personne. Les gens vont et viennent et j'en ai conscience, je n'espère pas qu'ils s'arrêtent autour de moi. Et pourtant ... Pourtant j'ai désespérément besoin de compagnie, tout le temps. Je ne supporte pas la solitude, elle me tue. La société est étrange à mes yeux. Les gens s'aiment et se déchirent, comme les nations. Je sais bien que n'importe qui peut trahir, détester, fuir ... Et pourtant j'ai besoin de cette société avec ses hauts et ses bas. Je suis de ceux qui ont besoin de rire, de parler, d'échanger sans cesse. C'est à travers cela que je me suis construit et que j'évolue encore. Oui, comme tout le monde, parfois je m'éloigne. Mais cela ne dure jamais bien longtemps. Me juger là-dessus n'est pas une bonne idée.

Trois personnes ont fait mon éducation. Ma mère, mon père et sa femme. L'une fut présente toute mon enfance, le second la ponctua et la dernière prit le relais, une fois les autres morts. Être guidé par trois personnes m'a permis de devenir un homme voyant la vie sous plusieurs points de vue simultanément. C'est pour cela que j'arrive si facilement à cerner les gens qui m'entourent. La première impression n'est pas toujours la bonne mais j'ai appris à déceler certains traits de caractères, certaines émotions sur le visage des gens et à travers leur manière de parler. Les petites piques assassines et les regards complices ne m'échappent que rarement. Et à cause de cela, j'ai un certain penchant pour le commérage. Vous voulez une image ? La vieille concierge de l'immeuble qui entend tout et à qui tout le monde vient raconter sa vie. Mais cela ne me dérange pas. Ecouter ne signifie pas distribuer les informations à tout le monde.

En fait, la seule personne à savoir tout ce que je sais n'est autre que Sora, mon Kuchiyose, à qui je raconte tout. Il est un peu mon confident, celui qui m'aiguille quand je me sens perdu. Celui qui ne me mentira jamais. Et dieu sait que je déteste le mensonge sous toutes ses formes car il entretien l'illusion. D'ailleurs, j'ai peur de ces dernières. Du Genjutsu pour être plus précis. Il me terrifie. Ces utilisateurs m'horripilent, ils se cachent derrière les apparences pour tuer. C'est pour les ridiculiser que j'ai développé ma Sensorialité. Pour affronter ma peur la plus tenace. Car j'aime me battre, prouver ma supériorité au sabre, avec mon trésor : Shibuki. C'est à cause de cette lame que je tiens mon surnom de Brute subtile. A cause de ma manière de m'en servir. Mais passons.

Que dire encore ? Oui : j'aime la nourriture. Sous toutes ses formes : épicée ou amère, acide ou sucrée, viande ou poisson ... J'aime manger. Je suis un maniaque de la nourriture, littéralement. Je préfère ne pas manger que mal manger. Voilà. Je ne pense pas avoir oublier de choses importantes mais je ne pense pas non plus avoir tout dit. Qui le pourrait ?

J'allais oublier : je suis Otaitsu Köda, membre des sept épéistes de Kiri et Jonin de mon état.


Histoire
KOWABUUUUUNGA !

... Non. Ma vie n'a pas commencé par un "Kowabunga". Soyons sérieux, juste au début. Histoire de maintenir les convenances. Je suis né dans les faubourgs de Kiri. Je vous arrête tout de suite, je ne suis pas né dans un grand clan. J'aurais pu mais ... Connaissez vous la notion du bâtard ? Vous savez, le fils d'un homme puissant et d'une prostitué (ou d'une femme riche et de son amant) et bien j'en suis un. Je suis né dans les larmes et le sang, dans la haine et la joie. Quelle tristesse pour un homme n'ayant jamais réussi à avoir d'enfant de voir le premier issu de son union avec une fille de joie. J'aurais pu être retiré aux bas-fonds de Kiri mais la femme de mon père s'y opposa. Elle imposa ses conditions : il ne pourrait me voir qu'une fois par quinzaine, il aurait le droit de m'offrir une vie décante mais personne ne devait savoir que j'étais son fils. En même temps, vous allez me dire que je me répète (et que je suis vulgaire), mais je suis le fils d'une putain. Ni plus, ni moins.

J'ai eu une bonne mère. Honnêtement. Elle était attentionnée, gentille et protectrice. C'était une femme forte et fragile. Vous en avez forcément connu une, l'une de ces roses entourée par un immense roncier. Elle se nommait Chizuru et elle m'a donné son nom de famille, Otaitsu. Malgré l'argent donné par mon père (il est celui ayant choisit mon prénom, Köda), elle n'a cessé de travailler. Bien entendu, elle a quitté le trottoir. Elle ne voulait pas vivre à ses crochets, dépendre de lui. Elle disait toujours que s'il venait à mourir, nous ne pourrions compter que sur nous-mêmes. Au départ, je ne comprenais pas toutes ces choses là, je n'étais qu'un enfant. Et même si j'avais pu assimiler tout ce qu'il se passait, elle m'en aurait empêché. J'en suis convaincu. Peu à peu, grâce à l'argent de mon géniteur et le travail de ma mère, nous nous sommes rapprochés du centre ville, des quartiers où la misère régnait moins.

Et finalement, un beau jour, cet homme, mon père, est arrivé avec des papiers de toutes sortes. Je me souviendrai toujours de cette phrase :

« S'il est bien mon fils, et je ne doute pas de ta parole, il doit rejoindre l'école des ninjas. Il y fera de grandes choses. »

Cette dernière phrase avait résonné dans ma tête, comme un appel. Ma mère refusa au départ. Mais elle le voyait, tout mon être désirait rejoindre cette école. Les chats ne font pas des chiens, non ? Lors de la visite suivante de mon père, elle accepta. L'école n'était qu'à quelques pas de notre maison. Je me souviendrais toujours de ma première rentrée. Mon père avait réussi à venir, contre toute attente. Il était resté bien en retrait mais il était là. Ma mère pleurait, c'était la première fois qu'elle se séparait de moi, même pour une journée. Moi ... Moi je sentais mes aîles se déployer. La plupart des ninjas vous diront que la première journée à l'académie est barbante, qu'ils savaient déjà tout ce qui y est dit etc ... Ce n'était pas mon cas. J'étais un aveugle qui venait d'ouvrir les yeux sur le monde. Sur son monde. J'ai bu chaque parole du professeur. L'une de ses phrase m'avait d'abord intrigué puis j'ai pris ce qu'elle désignait pour but. Que disait-elle ? Ne l'entendez vous pas résonner, vous autres Kirijins ?

« Et au coeur de l'élite ninja, sept hommes trônent. Ils forment un escadron sans égal à travers le monde. Les Sept épéistes de Kiri. »

Vous l'avez compris, depuis ce jour, je vis pour les rejoindre, l'élite des fines lames. Cela s'est d'ailleurs ressenti sur mon évolution scolaire. Mes résultats académiques étaient en dent de scie : excellent en Kenjutsu mais faiblard en taijutsu. Passable en Ninjutsu et ... Pour reprendre les termes de mon professeur : « absolument, définitivement hermétique au Genjutsu ». J'étais incapable de l'utiliser. Personne ne fut capable d'en expliquer la raison, c'était seulement une réalité. Et, de nombreux ninja vous le diront, ce que l'on ne maîtrise pas est effrayant. Et vous n'imaginez pas à quel point il est difficile d'assumer une telle peur, surtout quand il s'agit de l'une des trois voies primaires du Ninja.

Un beau jour, comme tous les ninjas, j'ai passé l'examen des Genins. Ce fut, sincèrement, une formalité. Je m'étais préparé comme il se devait et j'ai passé le test haut la main. Escusez mon orgueil, mais j'étais dans les meilleurs de ma promotion, particulièrement au sabre. Je suis rentré chez moi, heureux comme tout. Je portais fièrement le bandeau de Kiri. Mais ... C'était trop beau. A mon retour, je trouvai ma mère en larme. Elle vit le bandeau entourant mon poignet gauche, elle sourit, se leva, me prit dans ses bras et murmura une phrase si simple mais pleine de sens.

« Au final, il avait raison. »

Vous soulignez la conjugaison n'est ce pas ? J'y avais fait attention ce soir là. J'avais compris. Une part de mon univers venait d'entrer dans le passé : celui qui m'avait donné la vie était mort. Je n'ai pas pleuré. Je n'étais pas censé aller à son enterrement. Vous comprenez, il fallait sauvegarder les apparences. Pourtant, le matin même, une femme que je n'avais jamais vu vint me chercher. Elle était la femme de mon père. Elle me prit avec elle le temps d'une journée, sans se justifier, pour que je puisse assister à la cérémonie.

J'appris ce jour là que mon père et trois autres puissants ninja avaient été tués lors d'une embuscade. Un homme vint voir ma mère et lui demanda qui j'étais. Je pensais qu'elle dirait que je n'étais personne mais elle répondit avec le style des femmes de la haute société :

« Il est le fils de mon défunt mari. Voilà tout ce qu'il est et rien d'autre sur lui ne saurait vous intéresser. »

Je suis rentré chez moi après l’ode funéraire et je n'ai rien dit. Pas un mot. J'ai rencontré mon capitaine le lendemain. Ma capitaine. Une femme à la force terrible, une ninja puissante. Je l'avais déjà vu. Vous devinez non ? La femme de mon père, Koreiru Tsuki. Nous avons enchaîné les missions et c'est elle qui m'initia au Ninjutsu. Après trois ans, il y eut l'examen des Chunins. Et rebelote. Je l'ai réussi et j'ai perdu un être cher, ma mère. Là, ce fut un drame. Et étrangement, Tsuki m'aida à surmonter cela. Elle m’accueillit chez elle en disant qu'elle ne me haïssait pas. Qu'elle en voulait à mon père mais qu'elle ne pouvait me laisser seul dans le monde.

Le temps passa. J'étais toujours dans son équipe et elle m'apprit son art ainsi que celui de mon père. D'abord le sien, la sensorialité puis le Kuchiyose des renards marque mon père. Peu à peu, je me suis entrainé, développé, aussi bien humainement que d'un point de vue technique. Je suis vite devenu un puissant élément. Mon style à deux lames alla aux oreilles du Mizukage et il me convoqua. Cela faisait quatre ans que ma mère était morte. Il me dit ces mots :

« Otaitsu Köda, sur la recommandation de plusieurs personnes influentes, je te nomme Jonin du village de Kiri. Mais cela ne s'arrête pas là, tu es désormais le tributaire d'un trésor de notre village que j'aime tant : Shibuki. »

Je suis alors devenu celui que certains appellent la Brute subtile de Kiri. Depuis, je défends mon village contre vents et marées, quoiqu'il importe et quoiqu'il m'en coûte..

Who I Am

Je me nomme Köda Otaitsu et j'ai 21 ans. J'aime manger, marcher, rire et le Kendo et je déteste le mensonge, la lâcheté, le Genjutsu, mais je vous détaillerai ça plus tard. Et ma tête (comme elle te plait), c'est celle de Nakigitsune, de Touken Ranbu, me la vole pas j'y tiens !



Particularités : Possesseur de Shibuki
Affinités : Suiton & Doton

And ...


Kiri Epeiste de Kiri, rang A


Behind

Vous pouvez m'appeller Köda et j'ai 19 ans. J'aime le chocolat, la viande, écrire et dessiner et je déteste le céleri, les poivrons, mentir (en fait je sais pas le faire) et la congolexicomatisation des lois du marché. J'écris depuis 6 ans, et j'ai connu le forum par un top.

© Halloween



Dernière édition par Otaitsu Köda le Mer 22 Avr - 21:13, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE]   Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE] EmptyDim 19 Avr - 20:40

« Meguri Rin et Otaitsu Köda sont attendus dans l'arène, leur combat commencera dans cinq minutes. »

Nous y étions : la demi-finale du tournoi Chunnin. Je me rendis donc sur place, plein d'appréhension. Une fois dans l'arène, le calme se fit dans les gradins. Rin et moi nous regardâmes une seconde. J'avais étudié ses techniques : elle maniait le Hyoton. On nous donna soudain le top départ. Instinctivement, je me lançai dans le combat. Dégainant ma lame longue, je tentai un double estoc à l'abdomen de mon opposante. Elle recula et, après qu'elle ait composé quelques mudras, un voile de glace se fit entre nous. Elle fit une nouvelle série de signes et apposa ses mains contre le mur d'où sortir des shurikens de glaces.

C'était impressionnant : elle arrivait à transformer une technique défensive en attaque. Cette fille était pleine de ressource et surtout, elle avait le même regard que moi : celui de ceux qui ne veulent pas perdre. L'arène n'avait pas changé depuis le début de la journée : deux bandes semi-circulaires traversées par une ligne d'eau stagnante. J'allais tirer avantage d'elle, d'une manière ou d'une autre. D'un mouvement vif, je tirai un shuriken que je lançai légèrement sur le coté pour la diriger vers l'ouest. Elle ne comprit pas sur l'instant et se lança dans mon piège. Je fis quelques mudras rapidement et je dis :

« Suiton, Teppōdama »

Après l'avoir dis, je crachai trois sphères d'eau de la taille d'un poing dans le même alignement, de sorte que la première cache les autres. Elle n'esquiva pas mais contra d'une attaque similaire bien plus puissante et faite de glace. En explosant, les sphères d'eau me cachèrent la vue un instant et je me rendis compte trop tard que Rin avait contourné les tirs. Mon souffle se coupa et je reculai de quelques mètres. Elle venait de m'asséner un terrible coup de pied dans les côtes. Ninjutsu et Taijutsu. Vraiment impressionnante.

Les gradins hurlaient autour de nous, certains étaient de son coté, d'autres du mien. Je ne pouvais pas décevoir le publique. Je me saisis donc de mes deux lames et me jetais au corps à corps. C'était là que j'étais le meilleur. Dans la mêlée. L'avantage d'avoir des lames de tailles différentes est que l'on peut tromper l'adversaire en les intervertissant. Une fois face à elle je murmurai : «  Kirigakure no Jutsu » et une nappe de brouillard s'échappa de ma bouche. Je me mis alors à faire pleuvoir les coups sur mon adversaire. Je devais l'éliminer au plus vite.

Elle esquivait chaque coup lorsque l'un d'entre eux perça son coeur. Je reculai rapidement par surprise : son corps était fait de glace. Un clone ! Les éclats givrés furent comme mués de volonté et se dirigèrent vers moi avant que je ne puisse dire "ouf". J'en ai paré certains mais d'autres se plantèrent dans mon abdomen. Je titubais. Il n'a jamais été agréable de se faire transpercer. Reculant doucement, je tombais dans la bande d'eau. Un sourire se dessina sur mes lèvres. J'avais une idée. Mais cela n'allait pas être facile. Je commençai par créer un clone aqueux qui sortit de l'eau pour occuper la jeune femme, qui venait de dissiper le brouillard à l'aide d'une technique fuuton.

Je fis une suite de mudras assez longue. Je savais parfaitement que ma réserve de chakra en prendrait un coup mais je n'avais pas le choix. Elle était très forte. Vraiment. Une fois l'incantation terminée, l'eau autour de moi commença à se confiner, le niveau baissait peu à peu. La ninja approcha de l'eau. Elle avait probablement détruit mon clone. Une fois l'eau condensée, je l'absorbai. J'ai alors sauté hors de l'eau et utilisé mon jutsu le plus puissant : le « Suiton, Mizurappa. »

A deux reprises, je crachai tel un puissant canon à eau. Si elle esquiva la première salve, mon adversaire fut touchée de plein fouet par la seconde. Je n'avais hélas pas vu assez vite qu'elle avait créé une mince barrière de glace sur son corps pour endiguer mon coup. J'étais épuisé. J'avais utilisé des techniques consommant énormément de chakra et les enchaînements dans le brouillard avaient mis mes muscles à rude épreuve. Couplez cela au fait qu'il s'agissait de mon troisième combat de la journée et vous comprendrez sa précocité. Je commençai à retomber de mon saut lorsqu'un poing de glace géant m'attrapa et m'étreignit. C'était à double tranchant pour moi : je ne risquais pas de me casser quelque chose en tombant mais je ne pouvais plus bouger. Je vis alors que le poing était lié au bras de Meguri Rin. Elle était vraiment très forte.

Elle me posa au sol, détacha le poing de son bras et me dit d'abandonner. Mais ... Je n'ai pas pu répondre. Mes réserves de chakras étaient trop entamées et je m'étais évanoui. A mon réveil, elles étaient dans ma chambre, Meguri Rin et ma capitaine. Rin avait gagnait haut la main la finale et j'avais été promu chunin malgré ma défaite car ils avaient apprécié mon contrôle du Kenjutsu et du Ninjutsu ainsi que mon ingéniosité.

Le voyage de retour, car le tournoi avait eu lieu à Kumo, se déroula deux jours plus tard. Je n'ai jamais revu Meguri Rin mais je me souviendrai toujours d'une chose : les femmes sont effrayantes.
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Shodaime Uzukage
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MessageSujet: Re: Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE]   Otaitsu Köda, la brute subtile [FINIE] EmptyJeu 23 Avr - 17:13

Nous voilà enfin en face à face ! J’espère qu’on peut enfin finir cette correction maintenant ! (joke)

 ¤ Tout d’abord, je ne regrette pas de t’avoir laissé la recorriger car c’était tout simplement catastrophique à la base. Il est vrai que j’ai retrouvé quelques fautes et que j’étais surpris de ce manque d’attention mais les plus grosses ont disparu et tant mieux ! La psychologie est bien retranscrite et je retrouve le même personnage, à peu près vu la focalisation utilisée, dans ton test-rp. L’histoire m’a vraiment plu, c’est le genre d’histoire que j’aime, avec un fil directeur, une puissance recelé mais qui s’émane à travers les grandes lignes. Je n’ai au final pas grand-chose à te dire, tu as un style fluide, simple et agréable. J’ai d’ailleurs dévoré en quelques minutes tes six pages sans m’arrêter pour manger ou écouter de la musique (hazaña) Le combat était agréable, plein de rebondissements, un match équitable et qui montre ton fair-play et ça... C'est un très bon point ! Tu maîtrises le personnage, les techniques et le style de Kiri même moi je te valide en tant que Chunin !

 ¤ Les fautes sont avant tout de l’inattention et j’espère qu’elles te feront rire : « j’attend » sans s final, « il entretien » sans t final, peut-être revoir ses verbes au présent de l’indicatif ?  Attention également aux participes qui eux sont un peu plus présent : «Je ne pensais pas avoir oublier » Je ne pensais pas avoir VENDU (oublié) ; «il est celui ayant choisit » : choisite n’existe pas choisie oui !  « une femme que je n'avais jamais vu » VUE = s’accorde avec «une femme ». « escusez » pour excusez ! REVERSO s’impose ! « aîles » euh… une petite touche de folie ? « publique » =  UN public au masculin !  « l'une de ces roses entouréeS » ces roses entourées = complément (c’est UNE SEULE qui se sépare de toutes celles entourées, mais celle-ci est aussi entourée comme les autres) « l’une de ses phraseS » erreur d’inattention encore…  Tu as un problème avec les tirets : « ces choses-là » ; « corps-à-corps » ; « ce jour-là » ; « ce soir-là » ; « connaissez-vous » etc. Attention encore aux accords : « mes réserves de chakra » sans s ! « certains traits de caractères, » caractère sans s.

 ¤ Les autres reproches concernent la syntaxe : « il entretienT l'illusion. D'ailleurs, j'ai peur de ces dernières. Du Genjutsu pour être plus précis. Il me terrifie. Ces utilisateurs m'horripilent » = Ces dernières en parlant d’ « illusion » au singulier, tu généralises auparavant je pense qu’il faudrait que tu continues pour la logique ou que tu utilises un synonyme. De plus, « Du genjutsu… » je ne pense pas même si tu uses de la première personne qu’une phrase nominale soit intéressante dans cette explication, tu saccades le rythme l’effet n’est pas agréable. Ensuite, tu reviens avec « il » car genjutus se rapporte à ces dernières qui se rapporte à l’illusion, on finit par se perdre attention. Enfin, SES utilisateurs puisque tu parles du genjutsu. « la sensorialité puis le Kuchiyose des renards marque mon père » oubli de mot. Ce qui va suivre est « subjectif » bien que je ne fais que respecter une rigueur propre à la littérature française, la vraie.  « ... Non. » Une phrase se commence par une majuscule et se termine par un point. J’en profite pour dire que « .. » n’existe pas dans la ponctuation. « Car… » je ne pense pas que commencer une phrase par « car » soit judicieux puisque c’est un connecteur de cause et non pas un connecteur d’addition, il ne devrait donc pas « ouvrir » une phrase mais poursuivre l’idée d’une autre.

 En somme, une fiche fluide agréable comme je les aime. Tu ne me fais pas regretter d’avoir choisi ce type de présentation. J’ai reçu beaucoup d’avis positifs sur cette fiche et elle est au niveau maintenant qu’elle n’est plus rongée par des fautes ridicules qui ne sont pas digne de ton véritable niveau. Je t’annonce que tu es pris chez les épéistes bien que tu as failli passer à la trappe à ma première lecture ! Bravo !
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