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 Présentation de Fû - Kiri - 100 %

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Épéiste de la Brume

Fû
Épéiste de la Brume


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MessageSujet: Présentation de Fû - Kiri - 100 %   Présentation de Fû - Kiri - 100 % EmptyDim 3 Mai - 18:12





“ Le pouvoir réside là où les hommes pensent qu'il doit résider ”


Caractère
Les grands analystes de ce monde sont persuadés que tout ce qui survient dans l’enfance consciente ou inconsciente d’une personne influera pour toujours le caractère de cette dernière. Cela signifie que plus la noirceur aura eut un rôle principal dans l’enfance d’une personne, plus celle-ci s’enfoncera dans l’obscurité la plus sombre qui soit. C’est une déduction à laquelle Fû ne fait pas exception.. Son existence même relève d’une infamie, sa naissance non désirée a fait de lui l’être abominable qu’il est aujourd’hui. Fils d’un viol, l’enfant est né dans la noirceur et la violence. Ce qui correspond parfaitement à son être..

Sa première caractéristique est son côté solitaire. Il est né seul, il a grandi seul, il a survécu seul, il s’est entrainé seul, il a progressé seul. Sa vie n’est que solitude, et encore à cette heure, il préfère largement être seul la plus grande partie du temps. Mais fort conscient de l’importance des autres, il est capable de passer du temps avec autrui, sans pour autant assouvir sa soif de violence. Il a toujours combattu les autres, petit pour se nourrir, en volant, plus grand pour protéger son honneur, et encore à l’heure actuelle pour atteindre ses objectifs politiques. Cependant, il y a ici une légère méprise sur la définition même de la solitude, car seul certes, mais il y avait toujours une seule personne avec lui. Ces deux se considèrent comme un. Son frère jumeau : Mû.

Manipulateur est son maître mot, il convint une tiers personne de l’aider, puise son enseignement et ses besoins, et obtient toujours ce qu’il veut avant de décider, ou non, de la mort de cette dite personne. Tuer n’est pas un besoin, il n’est guère comme la plupart des fous qui aiment à ôter la vie pour se sentir vivant, un besoin de sang constant, trouvant une jouissance extrême dans les cris d’agonies et le supplice du regard de celui qu’ils sont en train de tuer. Lui n’est pas de cet acabit. Tuer n’est pas un problème, il n’y prend pas de plaisir, mais cela ne le reboute pas. Il tue s’il le faut, il laisse la vie si la mort n’est pas nécessaire. Les hommes riches se servent des pauvres, les forts des faibles, c’est une loi authentique, la seule qui est établie depuis la création même de la Terre et de la vie. Cette loi ne dispose d’aucune jurisprudence, et c’est justement celle-ci que Fû et Mû respectent. A défaut d’être nées dans la bonne famille, ils combattent et deviennent fort. Non pas pour exploiter les faibles, mais pour vivre.

Un autre point qu’il faut soulever, est la loyauté des frères de la brume. Où va t-elle ? Pour qui ? Kiri ? C’est une très bonne question, et malheureusement, elle ne trouvera aucune réponse, car ils n’ont pas de loyauté. Tant que Kiri assure une bonne formation militaire et continue de prospérer dans le même sens que les deux frères, ceux-ci continueront d’être fidèles à la brume qu’importe sa direction. Ils ne veulent pas la paix, ils ne veulent pas la guerre, ils ne veulent pas l’argent, ils veulent juste la force, la puissance, le pouvoir. La force de prendre une revanche sur ce monde, c’est la seule quête de Fû, comme de son frère. Ils sont nés tous les deux grâce au courage et à l’envie de vivre de leur mère. Ils ont, comme qui dirait, ça dans le sang..


Histoire
La vie de Fû débuta dans le sang.. Sa tendre porteuse était originaire de Mizu no kuni, un petit village de pêcheurs. Elle vivait dans la tristesse, dans la solitude, dans la pauvreté et le malheur. Son mari était un pêcheur, mais celui-ci avait mystérieusement disparu en mer dans l’exercice de ses fonctions, avec son bateau et le reste de son équipage. Depuis ce jour, elle avait commencé à travailler de son propre chef, comme femme de ménage, paysanne, cultivatrice. Elle n’avait pas de réel métier, mais elle aidait à tout pour un peu d’argent ou tout simplement de quoi se sustenter. Elle n’était pas qualifiée, elle n’était pas motivée, elle voulait juste vivre, elle ignorait pourquoi, mais elle le voulait. La vie de cette femme était triste, du début jusqu’à la fin, et cette fin ne tarderait pas.

Un jour sombre, alors que le ciel annonçait un cataclysme, plusieurs hommes se mirent à attaquer le village de pêcheurs afin de piller ses quelques richesses et assouvir leur soif de sang. La plupart des hommes et des enfants passèrent au fil de l’épée de ces criminels, les femmes furent, pour la plupart d’entre elles, violées avant d’être tuées. Cependant, habitant dans une sorte de cabane un peu à l’écart du village, un homme s’infiltra dans cette dite cabane avant de la frapper avec une extrême violence. L’homme finit tout de même par annihiler toute volonté chez elle, elle se laissa donc se faire violer afin de ne pas mourir. Et son désir de vivre était si fort, que l’homme voulant la tuer, n’y parvint pas. Grièvement blessée à la poitrine par la lame de son agresseur, elle réussit tout de même à arrêter l’hémorragie qui la vidait de son sang et à fuir le village. Mais son malheur ne s’arrêta pas là. Car un enfant du viol grandissait dans son ventre.

Pendant neuf mois, elle se mit à voler pour manger, mentir pour survivre. Vinrent ensuite les complications. L’enfant, ayant soif de vie, n’était pas seul. Un deuxième grandissait dans le ventre, mais ils prenaient beaucoup trop de place. Ils lui déchirèrent le ventre. Elle crachait du sang régulièrement depuis trois mois. Peu à peu elle en vint à se rendre compte de l’inavouable : elle allait mourir avant ou lors de l’accouchement, elle s’y était préparé. Mais elle voulait que ses enfants vivent, ce serait sa vengeance sur ce monde. Lorsque le moment fut venu, elle prit un couteau aiguisé et stérilisé par le feu, elle se découpa lentement, malgré la douleur, le ventre de bas en haut afin de faire sortir les deux enfants. Elle eut juste le temps de couper le cordon avant de mourir, ses deux enfants dans les bras.

Ils furent recueillit par un vieil homme, un très vieil homme qui s’occupa d’eux le temps qu’ils soient assez grands pour se débrouiller seul. Autant dire qu’à l’âge de sept ans, le vieil homme mourra d’une maladie bégnine, associée à sa vieillesse qui rendait son système immunitaire défaillant. A sept ans, les deux enfants sans noms volèrent pour vivre. Ils développèrent des habilités précises pour voler, pour mentir, et pour amadouer et manipuler quiconque afin d’obtenir de la nourriture. Ils se mirent à combattre avec les autres au fur et à mesure des années afin de s’entre-protéger et de protéger leur fierté. Jamais l’un sans l’autre, ils n’avaient confiance en quiconque, car de par leur propre expérience, il savait ce dont les êtres humains étaient capables. Pendant de nombreuses années encore ils restèrent sans rien, faisant de l’argent par des moyens crapuleux : drogues, braconnages, et parfois même trafic d’organe. Cependant, avec tous ces magnifiques exploits criminels, leurs têtes furent misent à prix pour braconnage, cambriolage et usage de violence pour assouvir des fins personnels et malgré leur expérience du combat, ils frôlèrent la mort face à un shinobis de Kiri. Le ninja les ramena à Kiri où, séduit par les compétences au Taijutsu des deux frères malgré le fait qu’ils n’étaient pas ninjas, l’homme au bandeau de la brume offrit aux frères un choix : combattre pour Kiri ou mourir. Voyant une occasion de s’améliorer et de gagner en puissance, le choix fut rapidement fait. Ainsi débuta leur carrière militaire.

Au départ sous intense surveillance des autorités, ils surent d’éteindre totalement, cesser toutes activités illégales afin de ne plus attirer l’attention sur eux. Pendant quelques années ils oeuvrèrent pour le bien de la brume, gagnant en force et en réputation. Commençant genin, ils passèrent très vite chûunin, car non seulement ils avaient la puissance d’un ninjas de moyenne classe, mais le fait de savoir effectuer une mission en prenant en compte toutes les caractéristiques de celle-ci les avaient beaucoup aidés. Après tout, ils avaient commencé à faire ça depuis l’âge de sept ans. Rapidement chûnin donc, ils passèrent, un peu plus longtemps après, ninjas de classe supérieur. Mais ceci fut plus difficile, car ils durent apprendre à correctement manier le chakra, l’utiliser et découvrir la source de leur pouvoir, ce qu’un garçon voué à une carrière militaire commençait à faire dès l’âge de trois ans. Les deux frères, toujours en duo, enchainèrent les missions pour gagner un maximum d’argent et de renommée au sein de Kiri. Ils effectuaient parfois des missions seuls, mais ils étaient généralement en duo. Si bien que les habitants de la brume commençaient à connaître les frères Fû et Mû de Kiri. Mais la plus grande récompense pour Fû, fut son admission en tant que l’un des grands épéistes de Kiri. Habitué à combattre avec un sabre, il eut le privilège de recevoir Nuibari l’aiguille à coudre. Pouvant sembler banale comme pouvoir, cette épée et lui ne firent alors plus qu’un, et sa puissance décupla grâce aux possibilités de cette arme.

Mais dans chaque histoire il y a un part d’ombre.. Mû disparut en mission, sans laisser de traces.. Ni odeur, ni chakra, ni cadavre.. Il avait disparu.. Etait-il mort ?

Who I Am

Je me nomme et j'ai une vingtaine d'année. J'aime le pouvoir et je déteste les chèvres albinos, mais je vous détaillerai ça plus tard. Et ma tête (comme elle te plait), c'est celle de Ichimaru Gin, de Bleach, me la vole pas j'y tiens !



Particularités : Détenteur de Nuibari
Affinités : I don't know

And ...


Kiri Jûnin A / Epeiste


Behind

Vous pouvez m'appeller OG et j'ai 22 ans. J'aime rien et je déteste tout. J'écris depuis 12 ans, et j'ai connu le forum par NarutovsSasuke.

© Halloween



Dernière édition par Fû le Dim 3 Mai - 20:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Présentation de Fû - Kiri - 100 %   Présentation de Fû - Kiri - 100 % EmptyDim 3 Mai - 20:05


Valar morghulis. Valar dohaeris.
Tout homme doit mourir. Tout homme doit servir.

Depuis la nuit des temps, les hommes servent et meurent pour leurs idéaux. Cependant, toutes les causes ne sont pas identiques. Loyauté. Pouvoir. Richesse. Famille. Amour. Honneur. Tant de causes, tant de chemins différents qui mènent tous dans une seule direction : la mort. Une chose est certaine : chaque homme se doit de trouver la quiétude lors de sa mort, de partir sans regret. Est-ce la raison pour laquelle ils combattent les uns contre les autres ? N’y a-t-il pas un autre moyen que le sang et la mort pour acquérir cette quiétude ? Visiblement pas, puisque depuis l’existence de l’être humain, ils se sont toujours battus et entretuer pour au final, acquérir plus, devenir plus fort, plus riche, plus glorieux. La noirceur envahissait de plus en plus le cœur des hommes, mais ne vous méprenez pas, ils le méritent, car cette obscurité est le fruit de leur labeur. Ils tuent, ils pillent, ils violent, ils usent de violence et de vulgarité pour atteindre leurs fins. Tout homme doit mourir. Tous les hommes doivent mourir..

L’Epéiste était accroupi, le souffle haletant, derrière une ruine, le marbre avait été consumé par le temps et le feu. Entièrement vêtu de gris, avec un kimono à manche longue, il attendait. Il attendait les ordres. Cet homme, c’était Fû, l’un des frères de la brume, le détenteur de Nuibari, l’aiguille à coudre. Il était dans l’archipel de Mizu no kuni, près d’un ancien village abandonné. Avec lui se trouvaient deux autres hommes. Deux ninjas de moyenne classe. En face de lui, plusieurs hommes qui ne s’attendaient pas à le voir. Valar dohaeris. C’était également son cas en cet instant. Il réalisait une mission de rang A avec deux compères de Kiri, deux shinobis expérimentés de la brume. L’ordre de mission indiquait qu’un riche marchand de Kiri avait été kidnappé par un groupe d’hommes, des shinobis. Cependant, malgré le temps de disparition du marchand, il n’y avait eu aucune demande de rançon. Les autorités ne savaient strictement rien sur les motivations de ces ravisseurs. Ils avaient donc décidé d’envoyer une équipe solide, mais pas très nombreuse. Fû était la pièce maîtresse car il faisait partit des sept épéistes de la brume, révélant donc son niveau.

Ø Fû-sempai, êtes-vous certains de vouloir faire ça ? Nous pouvons opter pour un autre plan, Michiki et moi ne sommes pas d’accord pour vous faire couvrir tous les risques.
Ø Depuis quand discute-t-on les ordres.. répondit le sabreur, non sous forme de question, mais comme un reproche sourd, sans forcément s’adresser à son compagnon.

Il n’était pas extrêmement sympathique, car il n’avait que faire des autres. Il n’était pas imbu de sa propre personne, mais la compagnie d’autres personnes que Mû n’était pas une activité follement palpitante. Après le reproche du jumeau, le chuunin de la brume quitta donc sa position pour se mettre en place. Devant Fû se trouvait une bonne dizaine d’hommes, discutant tous les uns avec les autres, visiblement pas sur leurs gardes. Son plan était simple, mais très dangereux pour lui. Comme tout grand stratège le savait, il fallait tout d’abord attirer l’attention d’une main pour mieux frapper avec la seconde. Une diversion. C’était le meilleur moyen d’en finir rapidement. Lui allait faire diversion en combattant les hommes présents le temps que ses deux collègues ne s’enfoncent à l’intérieur du village abandonné pour trouver la cible et l’emmener au loin. Il ne tenait pas particulièrement à la vie de ses compagnons, mais il tenait à la réussite de cette mission délicate. Cependant, rentrer de mission avec le colis, sans les co-équipiers pouvait entraîner des conséquences assez dramatiques pour une carrière militaire. Il était déjà allé si loin qu’il ne pouvait et voulait faire une erreur maintenant.

Ø Valar morghulis.

Il se redressa avant de se diriger lentement vers les hommes. Très lentement, afin qu’ils puissent bien tous le voir distinctement. Il avait aussi fait exprès d’attacher son bandeau à son cou pour qu’ils prennent tous peur et se mettent en alerte en voyant qu’il appartenait aux forces de la brume. Sans un mot, il se dirigea vers eux. Ils se tournèrent tous les uns après les autres. Alors que l’attention fut conquise, Fû vit un peu plus loin derrière un homme, un ennemi, se prendre silencieusement un kunai dans la gorge, avant que le dit Michiki ne se précipite pour emmener le corps, avant même qu’il ne tombe au sol. Discrétion, infiltration, diversion. Un trio gagnant dans tous les cas. Mais le sabreur se devait de se concentrer sur lui et sur le combat à venir. Car lui était visible, il faisait une proie idéale. Il se devait de survivre. Nul doute que ses compagnons viendraient l’aider lorsque l’homme serait à l’abri, mais Fû ne préférait pas compter sur eux, comme sur personne, à part Mû..

L’un des hommes le désigna du doigt alors qu’ils se mirent tous à avancer dans sa direction. La tête sur le côté, passant vraisemblablement pour un fou, il ouvrit sa veste de sa main gauche avant de poser sa main droite sur le manche de Nuibari qui était à sa hanche gauche. Il tenait le manche d’une étrange façon, à l’envers en fait, mais cela n’avait l’air de choquer personne. En dégainant l’arme, le sabreur laissa éclater l’aura de son chakra avant de prendre la parole. « On ne montre pas du doigt, c’est malpoli. » Puis il effectua une attaque. Un simple coup d’estoc qui fut contré par l’homme qui avait sortit un kunai à temps. « Pour la peine, je te retire ta main ». Dit-il avant que la main de l’homme ne tombe par terre, avec une coupure nette et parfaite. Elle avait coupé la chair et l’os d’une façon tellement précise que même un katana d’excellence qualité ne pouvait l’égaler. Pourtant, Fû n’avait pas coupé avec sa lame. Mais la particularité de Nuibari était là. Nuibari ou l’aiguille à coudre. A chaque estoc, son détenteur pouvait déposer un fil extrêmement résistant sur l’adversaire. Cela servait principalement à la capture, mais son détenteur actuel en avait trouvé une autre utilité. Enroulant rapidement un fil sur le poignet de son adversaire, il lui avait tranché la main.

Ø Arrggg l’enfoiré il m’a coupé la main.. Tuez le les gars !

Trop simple.. Vraiment trop simple.. Provocation. Réaction. Tellement simple. Les hommes se mirent alors en position de combat. Il y aurait du ninjutsu, du taijutsu, du kenjutsu, mais même si Fû semblait plus puissant que ces hommes. Ils étaient nombreux, ils l’entourèrent. Il lui faudrait être très prudent, surtout sur sa réserve de chakra qui était loin d’être illimité. Le premier homme fondit sur lui, comptant visiblement sur l’avantage du nombre, car il ne désirait guère utiliser de chakra. Grossière erreur. Un coup d’estoc net et cette fois-ci, il n’usa pas de fil de Nuibari pour l’atteindre. Sa gorge s’ouvrit et du sang en grande quantité s’échappa, le conduisant à la mort en quelques secondes. Un deuxième homme attaqua mais celui-ci ne fut que légèrement blessé à la main et à la jambe. Pendant une petite poignée de minutes, ils combattirent au kenjutsu. Puis lorsqu’ils se rendirent compte de la supériorité de Fû dans le domaine, l’un composa une série de mudras avant de cracher une boule de feu sur le sabreur. D’un simple mouvement de la main, Fû attira l’adversaire qu’il avait touché à la main et à la jambe avec les fils qu’il avait posé lors de l’attaque. Tout était calculé. Il força l’homme à se mettre devant lui, le laissant brûler à sa place.

Un autre mouvement, que d’aucuns jugeraient fou. Se séparer de sa lame. Il lança Nuibari dans la vague de flamme comme l’on lancerait un kunai. Un cri sourd avant qu’il ne tire sur le fil pour faire revenir l’aiguille dans sa main. La vague de flamme s’arrêta et le lanceur se retrouvait au sol, la gorge transpercée par l’épée légendaire. Pendant de nombreuses minutes, tous els hommes se ruèrent sur le sabreur avec diverses stratégies. Mais Fû avait l’expérience du combat, il ne se laissait pas faire, il savait canaliser ses sentiments et lire entre les lignes, ce que chaque grand combattant devrait savoir faire. Au loin, il vit ses deux compagnons avec un homme sur l’épaule. Cet homme était bâillonné et ligoté. C’était lui, le riche marchand. Il était donc grand temps d’en finir avec les cinq hommes restants. Concentrant une bonne dose de chakra dans ses jambes, il augmenta radicalement sa vitesse et blessa tous les hommes au corps. Il fit ensuite un tour afin de tour les rapprocher les uns des autres grâce au fil de Nuibari. Bien qu’il avait trouvé d’autres utilisations aux fils de Nuibari, il savait également s’en servir pour la capture.

Ø Je vois que vous avez réussi seul.. Devons-nous ramener les survivants à Kiri pour qu’ils pourrissent en prison ?  dit son compagnon qui venait pour lui porter secours.
Ø Pas besoin. Dit-il en remontant son index en l’air. Le fil parcourut de chakra remonta alors sur le coup des cinq hommes ligotés. Kiri à déjà statué sur leur sort. Rentrons.  

Puis, un bruit sec, écoeurant. D’un seul coup de main, il venait de trancher les cinq têtes qui tombèrent sur le sol. Le marchand avait été récupéré, la carte blanche de l’ordre de mission autorisait l’assassinat des ennemis, aucun collègue n’était mort. Réussite absolue. Ils prirent tout de même la peine de brûler les corps pour garder intact les secrets de la brume avant de rentrer directement à la capitale du pays de l’eau. Les méthodes de Fû n’étaient pas forcément très diplomatiques, ni même adaptées à la politique de Kiri, mais il obtenait toujours des résultats plus que satisfaisant car il ne prenait aucun risque. Et avec les relations se dégradant, chaque nation avait besoin de ninjas de sa trempe. De gens qui savent se salir les mains, des gens sans aucune attache. Ce type de personne, le bourreau-bouc-émissaire des nations.
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