Takuya est la plupart du temps une personne aux airs passifs, bordés de gestes maladroits et d'expressions n'ayant aucun signe de virilité, ni même la moindre colère, mais qui montre un profond attachement envers son entourage.

C’est aussi un ninja droit, honnête et franc qui a un fort enthousiaste envers la vie et des priorités les plus importantes envers son entourage et envers lui-même. S'il a quelque chose à dire à quelqu'un, il le lui dira de façon claire et directe avec le ton approprié, peu importe si cela est agréable à entendre ou non tant qu'il s'agit de la stricte vérité et encore moins d'avoir l'idée de trahir la confiance d’autrui sans raison valable.

Takuya est également une personne qui a malheureusement tendance à se montrer peu bavarde, en plus d'être un garçon un peu naïf sur le principe du bon sens, parce que durant son enfance, il ne quittait que rarement la demeure familiale en dehors de ses cours d'initiation aux arts martiaux.

Sa naïveté est fondée sur la curiosité de vouloir toujours découvrir et d’expérimenter de nouvelles choses qu'il n'a jamais connues auparavant, ainsi que le fait de prendre certains proverbes au premier degré, non pas au sens irrité, mais plutôt sur celui de l’incompréhension.

Par exemple, si l’un de vos supérieurs, vous demandez de prendre la porte, vous quittez les locaux dans la minute qui suit non ? Takuya lui se sera plutôt le genre de personne à dégonder stupidement la porte d'entrée de la pièce, pour ensuite demander où il doit la déplacer et la poser.

Cependant, bien qu’il ressemble moralement parlant à un Soshoku danshi (hétérosexuel), Takuya montre un profond attachement pour la noblesse des arts martiaux, même si la formation de combat du Hakkyokuken des Miyazawa lui a également fourni un instinct de combattant redoutable, capable de le rendre apte à pouvoir tuer sans la moindre hésitation.

De ce fait, quand des personnes chères à ses yeux se retrouvent menacées, sa volonté du feu peut également lui donner une autre facette incarnant un homme au caractère silencieux, déterminé et d'un calme fréquemment représentée par une crise de « colère froide » d'une virilité étonnante. Ce qui fait de lui quelqu'un de bien à la surface, mais qui est en réalité un véritable tigre incarné, bien qu'il puisse faire preuve de retenue.

Enfance :

Takuya est venu au monde environ 1 an avant la dernière Grande guerre qui avait frappé le monde des shinobis. Quand il atteint l’âge de ses 5 ans, la guerre avait alors pris fin, il y avait de cela alors 3 ans. Pendant cette période de paix harmonieuse bien que perturbée par le point de vue politique, son père Seiko Miyazawa qui est également le chef de file du clan, répétait souvent que leur Taijutsu, le Hakkyokuken, ne devait surtout pas exposer ces techniques martiales les plus redoutables inutilement.

Pour toutes ces raisons, Takuya avait une liberté d’aller et de revenir à l’extérieur du clan très limité et constamment sous surveillance, afin qu’il ne soit pas influencé par les avis du monde extérieur, jusqu'au jour où il aura acquis une valeur morale suffisamment vertueuse pour rester droit face à l’avenir tel qu’il soit.

Formation, parcours et grade :

Les années défilaient et Takuya poursuivait sa formation avec rudesse et sagesse. Quand il eut 9 ans, ce dernier fit son entrée à l’institut de formation des Genin. Durant cette période, Naruto Uzumaki venait donner des leçons de Taijutsu à tous les élèves de l'école de temps à autre, don bien entendu Takuya qui écoutait les leçons et refaisait les gestes du futur Nanadaïme avec toute son attention.

Il avait également des amis de valeur qui lui ont fait découvrir beaucoup de choses sur le progrès technologique, à s’intégrer à la vie de groupe en classe et aux habitudes de la vie communautaire du village. Au bout de 2 années de formation, Takuya était finalement devenu un Genin qualifié. Après avoir accompli une année entière de mission de classe C, dont l’une d’elles venait d'un riche commerçant du pays du thé, dont l’objectif de sa demande était de mettre fin aux agissements de la pègre locale.

Le mois suivant, Takuya devait passer l’examen des Chuunin avec ses camarades. Rapidement parlant, les Miyazawa étaient très inquiets des conséquences politiques que cela pourrait avoir si Takuya ou un autre membre du clan venait à tuer involontairement un Genin originaire d’un autre village durant l'examen.

Par chance pour eux, le Nanadaime et les autres Kages avaient déjà réglé tous les problèmes. Du coup, l’examen pouvait se dérouler sans interruption. Suite aux derniers résultats des phases finales durant lesquelles Takuya s’était qualifié, ce fut un nombre total de 52  Genins qui participèrent à l'épreuve ultime de l'examen qui se résumait à un tournois de combat libre.

L’éveil du nindô :

Peu de temps après avoir réussi à l’examen, Takuya avait reçu le titre de Chuunin, ainsi que de l’ancienne cape poncho dont son défunt grand-père porté alors qu’il participait à la dernière guerre mondiale du monde des ninjas.

Bien décider à la porter sur ses épaules le jour de sa première mission de rangs B, Takuya et son équipe devaient rester une année entière au service d’un commerçant milliardaire et directeur d’un réseau d’import-export, dont les travaux de la mission se résumaient à escorter des gens importants et à défendre des convois de livraisons en tous genres de différents pillards, Ronin, ou pire encore des Nukenin.

Maintenant qu’il était un Chuunin, le quotidien de Takuya venait de prendre une toute nouvelle dimension avec de nouveaux horizons. Depuis le jour de l’obtention de son titre à l’examen, Takuya s’était peu à peu forgé une philosophie et en fit son nindô, dont les paroles étaient les suivantes :

« C’est parce que j’ai été formé à l’art du combat que je déteste recourir à la violence pour tuer, mais si je laissais les gens auxquelles je tiens se faire tuer, alors je ne vaudrais pas mieux que leur meurtrier. Pour cette seule et unique raison, je me servirais de ces poings dangereux qui sont les miens pour protéger la vie et les idéaux de ceux qui me sont chers, tel est mon nindô ».